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10 graines Cleistocactus margaritanus (Cleistocactus baumannii subs. chacoanus)

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Plus communément appelé « Cleistocactus baumannii » et originaire de Bolivie, Cleistocactus margaritanus est un cactus colonnaire arbustif, ramifié à la base avec plusieurs tiges.

Remarquable par ses fleurs en forme de S et sa spination dense, couleur jaune d'or.

Plutôt plante de rocaille (si climat méditerranéen), d'un entretien facile, Cleistocactus margaritanus aime le soleil, la lumière et les climats secs.

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Cleistocactus margaritanus (Cleistocactus baumannii subs. chacoanus)

Cleistocactus margaritanus, plus communément appelé « Cleistocactus baumannii », est un cactus colonnaire arbustif, ramifié à la base avec plusieurs tiges.

Cleistocactus margaritanus appartient à la famille des Cactaeae, également appelées Cactées ou tout simplement Cactus (nommé ainsi par Carl von Linné depuis le grec ancien « kaktos » signifiant « chardon ») qui comprend environ 150 genres répartis en 1500 espèces différentes.

Mieux connaître les cactus...

Les Cactus poussent dans des environnements très secs, principalement dans les déserts d’Amérique. Ces plantes sont des championnes de la survie en milieu aride grâce aux réserves de sucs qu’elles emmagasinent dans leurs tissus (jusqu’à 90 % de la masse de la plante). On les reconnaît au fait qu’elles portent généralement des épines ou des glochides, mais surtout au fait que ces épines sont issues d’aréoles. Seuls les cactus présentent des aréoles, alors que de nombreuses plantes portent des épines mais n’en sont pas des cactus pour autant.

La plupart des cactus sont des succulentes, ayant donc des parties charnues qui retiennent l’eau : ils sont capables de réagir très vite à la pluie, leur système de racine absorbant rapidement l’eau. Le phénomène de transpiration, durant lequel le dioxyde de carbone pénètre la plante et fait sortir l’eau a lieu durant la nuit, ce qui limite les pertes en eau.

Le genre Cleistocactus comprend actuellement une quarantaine d’espèces, alors qu’à l’origine, il ne regroupait que des espèces à fleurs bien tubulaires, non ouvertes à l’extrémité. Plus récemment, les botanistes ont considéré que des espèces d’autres genres aux fleurs plus ou moins ouvertes à l’extrémité et plus ou moins zygomorphes (se dit des fleurs symétriques par rapport à un plan vertical), comme les genres Borzicactus ou Hildewintera, lui étaient apparentées. L’absence de césure nette entre les espèces à fleurs fermées et les autres à fleurs ouvertes, et le fait que ce caractère traduise moins une différence fondamentale qu’une simple adaptation aux agents polinisateurs, justifiait en botanique de les regrouper dans un seul genre. De là, un genre dont le nom ne correspond bien qu’à une petite part des espèces qui le composent.

Le nom Cleistocactus vient du grec « kleistos » qui signifie « fermé » ; il fait référence aux fleurs de la plante qui sont en forme de tubes fermés.

Classification botanique

Son nom scientifique précis est : Cleistocactus margaritanus hort. / Cleistocactus baumannii subs. chacoanus (F.Ritter) P.J.Braun & Esteves, 1995

Famille : Cactaceae

Genre : Cleistocactus

Synonymes : Bolivicereus margaritanus F.Ritter, Cleistocactus chacoanus F.Ritter

Origine : Bolivie, et plus précisément de Margarita (ville à laquelle il doit le reste de son nom) et des zones adjacentes, de Tarija (Sud de la Bolivie).

 

Description botanique de Cleistocactus margaritanus

Origine & habitat naturel

Originaire de Bolivie, et plus précisément de Margarita (à laquelle il doit le reste de son nom) et des zones adjacentes, de Tarija (Sud de la Bolivie), Cleistocactus Margaritanus vit dans son milieu naturel à environ 1800m au-dessus du niveau de la mer.

Description

Dans sa conception restreinte, c’est une plante vivace au port en colonne qui possède des tiges dressées ou retombantes, grimpantes ou rampantes, des nervures peu profondes et de très nombreuses épines. Celles-ci partent de petites excroissances appelées aréoles, caractéristiques des cactacées.

Ce cactus possède de jolies épines douces et jaunâtres et des fleurs en forme de S, de couleur rouge orangé. Mais sa caractéristique la plus frappante est sa spination dense et jaune d’or qui sert à le protéger du soleil dur commun à son habitat d’origine. Plus précisément, les épines profitent à la plante en réduisant l’exposition au soleil comme en emprisonnant une couche d’air à côté du corps du cactus, qui aide à refroidir la plante en été et à la garder au chaud en hiver.

Ses tiges, d’environ 3,5 cm de diamètre, sont assez raides, dressées ou arquées et mesurent jusqu’à 2 m de long en moyenne. Il possède environ 16 côtes et plusieurs épines, de couleur jaune doré, non différenciées en centrales et radiales, droites, douces et hérissées.

Floraison

Le Cleistocactus ne fleurit qu’au bout de 10 à 15 ans, en pleine terre et en été. Ses fleurs d’un rouge plus ou moins foncé, aux nuances orange selon les espèces, sont particulières ; elles sont de forme tubulaire, ne s’ouvrent jamais complètement et durent seulement quelques jours.

Les fleurs sont tubulaires, à symétrie bilatérale, recourbées vers le haut, puis étroitement en forme de S au-dessus des péricarpelles, rouge orangé, de 5 à 7 cm de long pour 1 cm de diamètre. Les fruits sont globuleux et rouges.

Parasites et maladies

Cleistocactus margaritanus est généralement assez facile à cultiver, surtout s’il est exempt de parasites. Cependant, il est sensible aux cochenilles et aux tétranyques : surveillez attentivement les infestations de cochenilles farineuses des tiges et des racines, car les dommages causés par celles-ci pourraient bien déclencher une attaque fongique. Les champignons, dont le mildiou des cactées, peuvent faire pourrir la plante. Ils sévissent surtout sur les plantes qui sont restées humides en hiver et se manifestent sous forme de taches noires ou brunes. Il vous faudra supprimer les parties atteintes et effectuer des bouturages avec les parties saines.

 

Les conseils du jardinier

Quel substrat utiliser pour un Cleistocactus margaritanus en bonne santé ?

Qu’il soit cultivé en intérieur ou un extérieur, ce cactus nécessite un sol sableux, calcaire, rocailleux et filtrant. Autrement dit, il se complaît sur substrat drainant (pensez donc aux billes d’argile ou au lit de graviers au fond du pot troué pour que l’écoulement se fasse rapidement après arrosage) selon la règle des 3 tiers adaptée : 1/3 de terreau de feuilles ou de terreau pour cactées, associé à 1/3 de sable et 1/3 de terre de jardin. Ajoutez de la poudre d’os pour fortifier le mélange (30 g pour 10 litres de terreau).

Dès l’achat de votre Cleistocactus, si celui-ci est dans du terreau pur, il convient de débarrasser aussitôt ses racines de ce terreau de production et de le remplacer par un mélange maison selon la règle des 3 tiers vu au-dessus.

Y a-t-il une période idéale pour réussir son rempotage ?

Le rempotage d’un cactus doit se faire avant la période de la reprise végétative, c’est-à-dire au printemps. Il est conseillé d’effectuer cette opération durant les mois de mars et avril, voire jusqu’en mai, et quand il n’y a pas le choix (achat, maladie…), jusqu’en été. Il faut simplement savoir que si vous rempotez en été, la période végétative du cactus sera très courte, voir inexistante, et il faudra attendre l’année d’après pour que le cactus se développe. Dans tous les cas, il ne faut pas rempoter juste avant ni pendant la période de repos hivernale (novembre à février) puisque la plante n’aurait pas le temps de se remettre de la manipulation et ne pourrait affronter l’hiver dans de bonnes conditions.

Comment réussir son rempotage de Cleistocactus margaritanus ?

Pour rempoter un cactus, essayez de le faire avec un sol sec pour faciliter le retrait de la plante.

Une méthode éprouvée

Dépotez votre cactus en appuyant sur le pot ou à l’aide de la mini pelle, puis saisissez le cactus grâce au papier journal (préalablement préparé) avant de l’y coucher en faisant attention aux épines ou aux aiguillons. Retirez la terre des racines à l’aide d’un pinceau et coupez les racines mortes avec des ciseaux ou un sécateur. Vérifiez l’état des racines, et notamment la présence de cochenilles des racines ou autres maladies. Tapissez le fond du nouveau pot (de préférence en argile et ne dépassant pas 20 cm de diamètre la première année) de billes d’argile ou de graviers (une couche d’environ 5 cm) pour le drainage et ajoutez le substrat adapté au cactus. Déposez le cactus au milieu du pot (le caler avec du papier journal par exemple) et comblez avec le substrat légèrement tassé jusqu’au collet. Utilisez une cuillère, si nécessaire, pour répartir le mélange et supprimer des bulles d’air. Ajoutez quelques graviers à la surface pour protéger la plante de l’humidité.

Si pendant la manipulation une grosse racine se casse, il est préférable d’attendre plusieurs jours avant de rempoter, le temps qu’elle puisse cicatriser. Les racines sont très vulnérables pendant cette manipulation, c’est également pour cela qu’il ne faut pas arroser le cactus immédiatement après rempotage, il est préférable d’attendre au minimum 10 à 15 jours.

Où installer votre Cleistocactus margaritanus ?

Vous pouvez installer votre cactus en pleine terre dans une rocaille ensoleillée, drainée, pentue et à l’abri des fortes précipitations comme du gel (sauf exception si très sec), sous un climat sec et doux, autrement dit plutôt méditerranéen et plus précisément sur la Côte d’Azur, mais il vous faudra néanmoins prévoir un abri pour l’hiver. En effet, en hiver, ce dernier devra connaitre un repos au frais et au sec, entre 5 et 15°C (les sujets bien établis pourront supporter des températures légèrement inférieures sur une courte durée, voire le gel si très sec) où il ne recevra aucun arrosage. C’est ce qui permettra, en outre, l’induction florale pour l’été suivant.

Une méthode éprouvée

Creusez un trou proportionnel à la motte puis placez du gravier au fond ou du sable, afin de favoriser le drainage. Ajoutez à la terre de jardin du terreau pour cactées et du sable grossier. Placez la plante et répartissez le mélange autour, puis tassez bien. Recouvrez le collet avec des petits gravillons ou du sable, pour le protéger de l’humidité.

Il faut beaucoup de luminosité pour une culture en intérieur

Cleistocactus margaritanus étant une espèce non rustique, il se cultive principalement en conteneur (où il pousse encore plus lentement) sous nos latitudes, sur les terrasses abritées, les vérandas et les balcons, où il peut bénéficier d’un ensoleillement maximum tout en restant au sec en hiver.

Si vous cultivez votre cactus à l’intérieur de votre maison, vous devrez porter une attention particulière à la quantité de lumière qu’il reçoit. Choisissez l’endroit le plus lumineux de la maison pour placer votre cactus. Ainsi, une fenêtre orientée au sud sera un endroit parfait. Les emplacements des fenêtres sont généralement plus ensoleillés que les autres emplacements de la maison car ils reçoivent plus de lumière de l’extérieur. Dans le même temps, les emplacements des fenêtres sont également plus frais que les autres endroits de la maison pendant les mois les plus froids en raison des courants d’air provenant de l’extérieur. Lorsque vous choisissez où placer votre plante, n’hésitez pas à la déplacer plusieurs fois jusqu’à ce que vous trouviez le meilleur endroit pour elle.

Attention : éloignez vos plants de Cleistocactus margaritanus des endroits de passage et placez-les hors de portée des jeunes enfants (ça pique !)

Pense-bête

Une luminosité maximale est conseillée car le Cleistocactus margaritanus, comme tous les cactus, est fan de plein soleil. Néanmoins, l’été, attention à l’acclimater progressivement si vous l’exposez au soleil direct, pour éviter les brûlures. Autrement dit, augmentez progressivement sa durée d’exposition au soleil direct (ne le laissez pas directement 12h d’affilée au soleil direct, par exemple !). Car si dans leur milieu naturel, ils résistent au soleil ardent et aux températures très chaudes, les jeunes (très petits) sont en général protégés du soleil par la strate herbacée, les rochers ou par une strate d’arbustes du désert. Ce n’est qu’en vieillissant qu’ils deviennent totalement résistants à l’intensité du soleil comme à la sécheresse. En pot, il est donc possible de voir apparaître des taches de brûlure du soleil quand on les expose dehors en été, ou dans une serre qui n’a pas d’ombrières.

 

Comment bien entretenir votre Cleistocactus margaritanus ?

Un bon arrosage peu fréquemment...

Concernant son entretien, Astrophytum myriostigma n’est pas très contraignant. Cultivé à l’extérieur, il nécessite très peu d’entretien et de soins en général. La pluie naturelle devrait répondre aux besoins d’arrosage de votre cactus, surtout lorsqu’il est en repos, où ses besoins en eau sont infimes voire inexistants. Durant cette période, les arrosages doivent juste permettre d’éviter le dessèchement. L’aération naturelle lui permet de mieux supporter les excès d’eau, et donc une longue période de pluie. Néanmoins, il vaut mieux pour votre Cleistocactus qu’il reste au sec et au repos durant l’hiver (ne craigniez pas de suspendre tout arrosage entre le 15 octobre et le 15 février).

En intérieur comme en extérieur, d’avril à septembre, il vous faudra prévoir des arrosages copieux, en veillant à ce que le sol sèche complètement entre chaque arrosage (ce que vous pouvez sentir avec le test du doigt). S’il est en pot, il ne doit pas tremper dans une soucoupe. Durant la période de végétation, ce devrait être une moyenne de toutes les 2 semaines au printemps, chaque semaine en été et 1 fois par mois en automne.

Deux précautions sont à prendre : ne pas mouiller votre cactus et ne pas laisser ses racines dans un terreau détrempé.

Un apport d'engrais n'est pas nécessaire

La question de l’engrais ne se pose pas pour les cactus cultivés en pleine terre, étant donné qu’à l'état naturel, ils poussent dans des sols assez pauvres et peuvent donc se contenter d’un substrat peu nutritif. De plus, si vous rempotez votre cactus tous les 2 ans avec le mélange adéquat, il devrait avoir l’apport nécessaire en matières organiques pour croître paisiblement. L’apport d’engrais est donc utile seulement pour les cactus cultivés dans des substrats sans terreau ou si vous souhaitez accélérer sa croissance. Dans ce cas, l’apport d’engrais doit se faire uniquement durant la période de croissance, à raison d’1 fois par mois avec un engrais liquide mélangé à de l’eau d’arrosage.

Petit mémo sur l'engrais

L’engrais est constitué de trois éléments principaux : l’azote (N), le phosphore (P) et le potassium (K). Cette composition est définie par le sigle NPK. Les propriétés de l’engrais sont ainsi déterminées par la quantité de chacun de ces éléments qui le constituent : l’azote agit sur la partie aérienne des plantes (tiges, branches et feuillage), le phosphore est important pour le développement des racines et favorise la résistance aux maladies ; enfin, le potassium favorise la formation des fleurs et des fruits. En plus de ces trois composants essentiels, l’engrais contient des oligo-éléments (zinc, cuivre, magnésium ...) qui sont présents en moindre quantité mais dont le rôle est tout aussi important. Il existe dans le commerce de l’engrais spécial cactus, mais son prix reste élevé. Vous pouvez en remplacement utiliser un engrais de type géranium dont le rapport NPK est peu concentré en N.

Attention

Attention à un apport excessif de fertilisant car les cactus sont gourmands et ne savent pas se contrôler. Ils ont tendance à trop gonfler et prendre l’aspect d'un légume prêt à éclater. La plante perd alors en esthétique et des fentes peuvent apparaître.

 

Semis et boutures avec Cleistocactus margaritanus

La multiplication du Cleistocactus margaritanus peut se faire relativement facilement par semis et rejets.

Comment réussir ses semis de Cleistocactus margaritanus ?

Une méthode éprouvée

La période idéale de semis est le printemps. Semez en caissette ou dans une mini-serre chauffée, la température du sol devant être constamment supérieure à 21°C. Les semis se réalisent de préférence en terrines peu profondes ; ils peuvent également être fait en pot. Mettez sur la moitié de la hauteur des gravillons pour le drainage, puis ajoutez du terreau à cactées bien affiné (ou le mélange proposé plus haut), ainsi que de la poudre de charbon de bois pour éviter la fonte des semis. Humidifiez le substrat et tassez légèrement à la main. Déposez les graines, une à une, sans les tasser ni les recouvrir. Recouvrez le conteneur d’une feuille de plastique transparent ou d’une plaque de verre et mettez-le dans un endroit à 21°C. La levée des graines intervient entre 2 à 4 semaines. Lorsque des plantules apparaissent, entrouvrez le couvercle de verre ou de plastique pour aérer et attendez 1 an environ avant de les transplanter dans des pots individuels et de les cultiver normalement.

Comment bouturer votre Cleistocactus ?

Quant au bouturage, faîtes-le en été. Choisissez un beau rejet situé sur le côté de la plante et coupez-le à l’aide d’un couteau tranchant et propre. Attention à ne pas vous piquer, mettez des gants épais ! Laissez le rejet au repos quelques jours, afin que la plaie sèche. Préparez un pot rempli du mélange de culture adapté (terre de jardin, terreau de feuilles, sable et gravillons). Repiquez la bouture sans l’enterrer puis arrosez modérément. Placez le pot dans un endroit ensoleillé et cultivez normalement.

 

Quelques espèces botaniques du genre Cleistocactus…

Le genre Cleistocactus comprend une quarantaine d’espèces, dont plusieurs variétés de Cleistocactus baumannii : Cleistocactus baumannii sub. anguinus, Cleistocactus baumannii sub. chacoanus, …

Cleistocactus brookei

Cleistocactus brookei, originaire de Santa Cruz, en Bolivie, fait environ 0,50 m de long. Il possède des tiges vert clair, d’un diamètre de 5 cm, portant une vingtaine de nervures, au port dressé. Les aréoles sont de couleur blanc gris et couvertes d’une quarantaine d’épines blanc jaune, soyeuses et très compactes. Les fleurs sont orange, en tubes de 2 cm de longueur, courbées vers l’extérieur et apparaissent en mai, juin, juillet, août et septembre.

Cleistocactus strausii

Cleistocactus strausii ou « cactus cierge », originaire d’Argentine et de Bolivie, est la variété la plus connue. Ce cactus peut atteindre 1,80 à 2 m de hauteur. Ses tiges vert clair, d’un diamètre de 5 à 8 cm, portent entre 20 et 25 nervures, au port dressé. Les aréoles sont blanches, laineuses et couvertes d’au moins une trentaine d’épines blanches également, raides et très compactes (néanmoins, la plante âgée peut produire des épines jaunes, de 5 cm de longueur au centre et la variété jujuyensis donner des épines rouge-marron). Les fleurs sont rouge foncé, en tubes de 8 cm de longueur, aux extrémités des tiges. La floraison est estivale (juillet et août).

Cleistocactus tominensis

Cleistocactus tominensis, originaire de Bolivie, peut atteindre 1,80 m de hauteur. Ses tiges vert clair, portent une vingtaine de nervures, non ramifiées, au port dressé. Les aréoles sont couvertes d’environ 8 épines périphériques de 1 cm de longueur et de 3 épines situées au centre, de 2 cm de longueur. Les fleurs sont rouge clair, en tubes de 2 cm de longueur et la floraison estivale (juin, juillet et août).

Cleistocactus winteri

Cleistocactus winteri ou « queue de rat doré », originaire de Bolivie, atteint le plus souvent 1 à 1,20 m de long. Ses tiges vertes de 2 à 5 cm de diamètre, retombantes, rampantes, ramifiées, portent une quinzaine de nervures. Les aréoles sont brunes et couvertes d’une cinquantaine d’épines dorées, souples et très fines. Ses fleurs sont rose saumon, en tubes de 6 cm de longueur, aux pétales recourbés vers l’arrière. La floraison est estivale (juin, juillet et août). C’est une espèce qui produit beaucoup de rejets à sa base.